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J'ai mal


Noël 2004, Anne devant son ordinateur, devant le massif du Mont Blanc. (Photo de Jean Philippe Azaïs).

Comment expliquer le grand retour des ancêtres en psychothérapie ? Freud n'ignorait pas leur importance : chacun de nous n'est pas seulement déterminé par le triangle papa-maman-bébé, mais aussi par une cascade d'influences venues de son arbre généalogique. Certes, le fondateur de la psychanalyse avait assez à faire avec l'œdipe, et c'est consciemment, selon certains, qu'il aurait remis l'étude des ascendances à plus tard. Beaucoup plus tard. Il aura fallu attendre un siècle pour que la dimension transgénéalogique soit vraiment reconnue par les « psy ». Et brusquement, cette reconnaissance prend l'allure d'un mouvement. Sur le thème «où que vous soyez, vous transportez votre famille avec vous - bénissez-la... mais libérez-vous-en ! », la psychogénéalogie émerge dans de nombreuses pratiques et écoles. C'est à une large présentation de celles-ci qu'est consacré J'ai mal à mes ancêtres, sous la forme de sept entretiens avec des acteurs majeurs et mineurs de ce mouvement, avec en particulier :

bullet•Pr Anne Ancelin Schützenberger, qui s'est retrouvée sur la piste transgénérationnelle en butant sur d'«étranges maladies à répétition» ;
bullet•Vincent de Gauléjac, qui démontre que les arbres généalogiques se regroupent par grandes familles sociologiques.

 

 

 

Date de dernière modification de cette page : 07/06/07

 Skipper bénévole, croisière voil